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LOISIRS,VOYAGES,CONVIVIALITE et tout ce qui enjolive le quotidien
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21 février 2007

FOURS A CADE ET FOURS A POIX

La fabrication de l'huile de genévrier oxycèdre (cade) et celle de la poix ont de tout temps utilisé des techniques assez semblables. La distillation à la marmite et celle pratiquée dans des fours maçonnés sont les deux pôles d'une activité qui n'est jamais vraiment devenue une industrie et qui n'a cessé d'exister qu'au milieu du 20[ème] siècle. La concentration des structures observées dans les arrières pays marseillais et toulonnais s'explique en partie par l'existence d'un élevage ovin important et par la proximité des arsenaux et ports de commerce. Des enquêtes orales insuffisantes ou contradictoires ont amené les AA. à construire leur four à cade et à tenter plusieurs distillations. A l'issue de ces tentatives sont présentés les principes à ne pas transgresser pour obtenir une production conforme au récit des informateurs

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22 février 2007

LES FOURS A CHAUX explication

Comment les édifices antiques, du moyen âge et du siècle dernier étaient réalisés ?

Le ciment actuel n'avait pas été découvert. Néanmoins une pierre naturelle est présente en grande quantité dans toutes nos régions et notamment dans la PACA. Il s'agit de la pierre calcaire. Il y a 2000 ans les romains inventèrent ce système pour édifier solidement les édifices.

Pour obtenir le "principe actif " de cette pierre il fallait un four à chaux. Pour des raisons de commodité il était creusé sur place à proximité immédiate de la carrière

Ce four était divisé en deux parties : le foyer et une voûte sur laquelle les pierres à calciner étaient empilées méthodiquement. Très souvent une couche d'argile était étalée sur les parois du four pour qu'il garde bien sa chaleur.

Cet empilement méthodique des pierres de calcaire permettait la circulation de la chaleur entre elles pour un pouvoir calorifique supérieur. La fournaise devait durer trois jours et trois nuits pendant lesquels les ouvriers se relayaient pour garder la température constante du four à 1000 degrés.

Par ce processus la pierre calcaire se transforme en chaux vive. A la fin de ces trois jours de combustion, on ajoutait à cette chaux vive la moitié de son poids en eau.

Ce choc thermique entraîne l'éclatement des pierres en poudre. Cette poudre est de la chaux éteinte Elle devait être conservée à l'abris de l'humidité et constituait un liant qui aujourd'hui tient encore dans certains édifices vieux de plusieurs siècles.

En effet de grands monuments, tels le Panthéon, le Colisée, le Pont du Gard et la tour romane de sanary témoignent de la durabilité de la chaux.

1 décembre 2005

LA PYRAMIDE DE MYKERINOS

Pyramide de Mykérinos
La pyramide de Mykérinos, qui repose sur une base de 108 mètres, ne mesure que 66 mètres de hauteur. Elle est inachevée à l'intérieur et il semble que des modifications viendront perturber le cours des travaux. On remarque ainsi des changements de matière, le calcaire ayant par endroit remplacé la granit. Le très beau sarcophage de basalte de la chambre funéraire sera malheureusement perdu en mer lors de son transport en Grande-Bretagne, en 1837.

11 janvier 2006

ETRE UNE FEMME.... UN HANDICAP

POUR LA VIE POLITIQUE MEME DU TEMPS DES PHARAONS.............

CAR ***

Hatchepsout ne remplaça cependant pas Thoutmosis III, qui régna à ses côtés. Ce fut un temps de prospérité pour l'Égypte, et Hatchepsout commanda de nombreuses constructions ; elle organisa également d'importantes expéditions commerciales et des campagnes militaires. Après vingt-deux ans de règne partagé, Thoutmosis se retrouva seul sur le trône, vraisemblablement par la mort d'Hatchepsout. Beaucoup plus tard - son règne dura cinquante quatre ans-, Thoutmosis entreprit de faire mutiler les monuments d'Hatchepsout, apparemment pour effacer toute trace de sa royauté. On a pu penser que la seule motivation de Thoutmosis était la haine mais une autre raison est possible : pour la plupart des Égyptiens, qu'une femme devînt pharaon était contraire à l'ordre naturel. Voyant approcher sa fin, Thoutmosis a pu vouloir, en effaçant la mémoire du pharaon Hatchepsout, empêcher qu'une autre reine n'accède au trône. Hypothèse que corroborerait le fait que son nom et son image n'ont pas été martelés sur les monuments qui représentent Hatchepsout en simple épouse royale.

7 février 2006

LE PALMIER DATTIER

Le palmier dattier est la principale richesse du jérid. Cette région du sud tunisien située aux bords du chott du même nom, présente le lieu favorable de la culture du palmier dattier. En effet son climat sec et chaud permet à cet arbre de se développer et mener à terme le mûrissement de ses dattes. "Le palmier vit les pieds dans l'eau et la tête au soleil" comme on dit. Un palmier bien entretenu peut produire jusqu'à 100 kg de dattes. La production annuelle de la Tunisie est de 60.000 tonnes par an ce qui représente 1% du PNB.

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9 février 2006

SOUS LES PALMIERS

Sous les palmiers.

   Les surfaces entre les palmiers sont utilisées pour faire de l'agriculture: tomate, carottes, poivrons, piments, oignons, épinard, cambons, salade et divers légumes verts. Comme les oasis de cette région sont au bord du chott, la terre contient du sel. L'antidote a été trouvée par les anciens. Il suffisait de mélanger la terre avec du sable des dunes pour réduire le phénomène. Le résultat est au dessus de toute espérance puisque le peu de sel restant donnait aux aliments une saveur particulière, très appréciée par tous ceux qui ont visité cette région. Le même phénomène se produit avec la viande de mouton car celui-ci est habitué à brouter l'herbe quelque peu salée

6 mars 2006

la route de l'olivier

L'olivier est l'arbre symbole de la Méditerranée.

Le visiteur intéressé qui se laissera aller à parcourir la route de l'olivier pourra y découvrir de superbes sites paysagers oléicoles, des moulins à huile d'olive en activité à la période de la récolte (de novembre à Janvier selon les années), mais aussi ouverts au public toute l'année, des musées, ainsi que l'artisanat dérivant de la culture de l'olivier.

18 mars 2006

LA VIGNE AUTOUR LE LA MEDITERRANEE

Le vin et l'huile dans la Méditerranée antique. Viticulture, oléiculture et procédés de fabrication

Le vin et l'huile ont joué un rôle essentiel dans l'Antiquité, à la fois dans la vie quotidienne, le commerce et donc l'économie, mais également dans les rites religieux, la pensée philosophique et dans l'art. Cela, on le sait depuis longtemps. En revanche, sont moins connus les résultats de recherches engagées récemment sur les conditions de production et de commercialisation de ces produits. Ces recherches sont, pour la plupart, nées de fouilles d'urgence et de prospections systématiques non seulement dans l'Europe classique mais aussi dans le Moyen-Orient, à la fois sur terre et sous l'eau.

18 mars 2006

LE VIN

LA VIGNE EN MEDITERRANEE

La combinaison des renseignements tirés des textes anciens, des amphores, de l'archéologie sous-marine et de celle des villas, permet de suivre l'histoire exemplaire de la consommation, du commerce et de la production du vin dans le monde romain. On voit s'établir à partir du IIe siècle av. n. è. une consommation de plus en plus hiérarchisée, qui finira par aboutir avec Pline l'Ancien à une classification qui rappelle le classement de 1855 des vins de Bordeaux, et n'a peut-être pas été sans en inspirer la structure. Le rôle des médecins dans l'essor de la réputation des crus a été essentiel.
Le grand moteur du commerce a été aux IIe et Ier s. av. n. è. une forme de consommation rituelle et guerrière qui a fait de la Gaule un marché idéal pour les vins italiens. Ces mœurs s'estompent dans le cours du Ier s. Tout en restant productrice, l'Italie importe à partir du changement d'ère, surtout dans sa capitale géante, des vins d'Espagne d'abord, puis de Gaule et enfin d'Afrique. Le tonneau apparaît à côté de l'amphore, constituant un intéressant progrès des techniques pour le transport, mais créant davantage de difficultés d'interprétation pour les archéologues.
Au total, l'époque romaine est celle qui a vu se créer l'essentiel des vignobles méditerranéens, dont la survie ultérieure a été, pour des raisons multiples, fort diverse

22 mars 2006

la fin d'une légende

La Sartine a bouché le port et pas la............. Sardine

La frégate « la Sartine », baptisée du nom du ministre de la Marine Royale de l'époque, qui transportait des soldats français des accords d'échange de prisonniers en Inde. Endommagée par méprise par un navire anglais, elle s'est échouée dans la passe d'entrée le 19 mai 1780 paralysant un moment la circulation. Avec une légère déformation du nom - la sardine qui bouche le port - c'est devenu une galéjade classique...........................

31 mars 2006

LA NAVETTE

La navette marseillaise



Ce biscuit au goût de fleur d'oranger appartient aux traditions gastronomiques de la ville de Marseille! Nos navettes sont fabriquées artisanalement selon les règles de l'art!

La Navette est un biscuit cylindrique, façonné en forme de petite barque (navette) de 7 à 8 cm de long. Une légende dit que cette barque serait celle qui avait amené les « Saintes Maries » (Marie-Madeleine, Marie-Salomé, Marthe et Saint-Lazare) depuis la Terre Sainte,  sur les côtes de Provence, le 2 février, il y a plus de 2000 ans. On les achetait jadis douze par douze, une pour chaque mois de l'année

Nos navettes sont préparées par un artisan dont l'atelier est toujours au coeur de Marseille. Sa fabrication est naturelle et exclue donc tout produit chimique. Elles sont même découpées à la main et cuites dans un four traditionnel! Autant dire que leur goût et leur texture est parfaite: ni trop dure, ni trop molle, ces navettes succulentes sont idéales au petit-déjeuner, au goûter, en dessert ou tout simplement pour grignoter dans la journée!

Petit conseil: Elles se conservent très longtemps dans une boîte de métal bien fermée. Il suffit simplement de les réchauffer avant de les manger. Elles retrouveront tout leur moelleux et leur goût n'en sera que meilleur!

4 avril 2006

MARSEILLE ET SA CATHEDRALE

Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure


Louis-Napoléon Bonaparte pose la première pierre de la nouvelle cathédrale le 26 septembre 1852, consacrée le 6 mai 1896, les plans sont de l'architecte Léon Vaudoyer. A sa mort, en 1872, Henry Espérandieu reprend le chantier jusqu'à sa propre disparition en 1874. C'est enfin Henri Revoil qui achève la nouvelle cathédrale.

La construction de Sainte-Marie-Majeure (souvent appelée " la Major ") a nécessité une amputation importante de l’ancienne cathédrale Notre-Dame (l’ancienne Major).
La Major est l’un des édifices religieux les plus vastes et ambitieux bâtis au 19e siècle. Sa construction dura de 1852 à 1893, et ses architectes successifs, Vaudoyer, puis Espérandieu et Revoil, accordèrent une large part à l’historicisme.
Avec son appareillage de pierres alternativement vertes et blanches, cet édifice d’inspiration byzantine (style romano-byzantin, emploi de la mosaïque, des coupoles) marie en effet éléments romans et gothiques.
Le plan est en croix latine. Le chœur est ceint d’un très long déambulatoire bordé de chapelles ...
Sa longueur totale est de 146 m, la coupole principale a près de 70 m de hauteur et 18 m de diamètre.

A signaler : A l'extérieur : la façade ornée des statues du Christ, des apôtres, saint Pierre et saint Paul et les saints de Provence, les tympans sculptés ; la statue en bronze de Mgr de Belsunce, évêque de Marseille lors de la peste de 1720.

A l'intérieur : les statues des quatre évangélistes par Louis Botinelly, le Christ et sainte Véronique par Auguste Carli, le Ciborium en onyx et les autels de Jules Cantini, le tombeau de saint Eugène de Mazenod dans la chapelle axiale.

5 avril 2006

LE PASTIS A MARSEILLE

Comment se fabrique le pastis ?

Il existe beaucoup de fabricants de pastis, et les guerres de clochers sont très sérieuses. Amateurs de Ricard ou de 51, tous ne vénèrent pas le même anis. Pourtant, ne leur dites pas, mais d'après l'histoire, tous les pastis ont une procédure de fabrication similaire.

   

- Choix des plantes

  La badiane, ou anis étoilé, et le réglisse viennent le plus souvent de Chine ou de Syrie. Thym, romarin, sarriette, sauge, armoise et verveine sont cueillis dans la garrigue de Haute Provence. Certains pastis sont aromatisés avec des essences plus originales comme le citron. Il y en a même qui contiennent jusqu'à 72 plantes et 6 épices.

- Macération*

  Chaque plante et chaque épice macère séparément dans de grandes cuves contenant de l'alcool de 30 à 96°. Certains arômes ne peuvent être extraits qu'avec des alcools très forts. C'est là que réside un des secrets de fabrication de chaque anisetier. La difficulté est de doser le degré d'alcool en fonction de chaque plante. La macération peut durer entre 15 jours et deux mois. Certaines plantes comme le thym et l'armoise sont simplement égouttées. Les autres sont pressées pour ne conserver que l'alcool imprégné de l'arôme.

- Distillation*

  Le résidu obtenu après égouttage ou pressurage est chauffé dans un alambic de manière à ne récolter que les vapeurs d'alcool chargées en arômes. Certaines infusions comme l'armoise ou le réglisse sont gardées telles quelles.

- Assemblage

  Une opération délicate. C'est à ce moment-là que s'exerce l'art des fabricants de pastis. Infusions et distillats sont mélangés avec du sucre et de l'anéthol*. L'anéthol est l'essence d'anis étoilé, composant essentiel du pastis. Ensuite, on ajoute de l'eau pure pour ramener la liqueur à 45°, le taux d'alcool autorisé.

13 avril 2006

LE PARC BREGANTE

Ce parc d'une grandeur moyenne est situé à côté du quartier de la Viste dans les quartiers nord de Marseille. Il s'étend autour d'une jolie maison de maître située tout en haut.
Le parc s'ouvre sur deux grands bassins parfaits pour permettre auxpetits et grands de faire évoluer leurs bateaux radiocommandés.

En poursuivant un peu, on peut se rendre compte que ce parc est très bien entretenu et décoré de nombreux massifs de fleurs diverses qui offrent un spectacle gai et coloré. Il faut d'autre part noter une vue imprenable sur le port autonome de Marseille
14 avril 2006

A PASTRE LE MUSEE DE LA FAIENCE

Château Pastré - musée de la faïence

Histoire :
Ouvert au public en juin 1995, il est aménagé dans une prestigieuse bastide du XIXe siècle appelée le château Pastré. Entièrement restauré, le bâtiment accueille près de quinze cents pièces de céramique qui offrent un large panorama des développements successifs de cet art à Marseille, en Provence en France et à l'étranger du Néolithique ancien à nos jours.

Le Musée
Une place privilégiée est réservée à l'Art de la faïence qui, introduit au XIIIe siècle, réapparait à Marseille et en Provence à la fin du XVIIe siècle pour atteindre son apogée au XVIIIe siècle. Aux productions à décor de grand feu, à sujet mythologiques, religieux, extrême-orientaux, romanesques et cynégétiques des fabriques de Clérissy, Héraud, Leroy, Fauchier succèdent après 1750, celles des fabriques Perrin, Savy, Robert, Bonnefoy, à décors de petit feu à sujets floraux, champêtres, animaliers et chinois.

A la présentation de la faïence marseillaise fait écho celle de la céramique provençale avec Moustiers, la Tour d'Aigues, Aubagne, Apt, Castellet, et Varages.

Pour le XIXe siècle, les conditions de production ayant été profondement modifiées, la collection met en exergue les principaux développements de la création céramique en France. L'industrialisation autour d'ensembles significatifs, Creil, Montereau, Sarreguemines, Gien, Rubelles, Langeais ; dans les années 1850, l'apparition de la création individuelle de l'artiste-potier avec les pionniers et grands précurseurs de cette démarche, Avisseau, Ziegler, Deck suivis de Chaplet, Jeanneney, Dammouse, Delaherche, Cazin, Metthey, Massier, Lachenal dont les recherches et styles illustrent les tendances successives de l'Art nouveau. A cette génération de céramistes succèdent ceux qui ont marqué les années 30 ; Soudbinine, Buthaud, Mayodon, Lenoble, Decoeur, Besnard, Serré, Beyer.

Enfin, les années d'après-guerre sont représentées par les oeuvres de Lacaf, Jouve, Lerat, Mohy, Deblander et plus près de nous par celles de Ben Lisa, Lachens, Bayle, Champy, Girel, Varlan...

Des expressions du Design allemand, scandinave, italien, français illustrées des oeuvres de Wagenfeld, Aalto, Franck, Hald, Sarpaneva, Bianconi, Sottsas, Thun, Gagnère, Stark, Szekely, Meitner, Pesce... sont présentées en fin de parcours, ménageant des passerelles avec le domaine du verre, matériau qui, avec la céramique, préside aux Arts du feu.

La politique d’acquisitions engagée par la ville de Marseille ainsi que plusieurs dons prestigieux ont permi d’enrichir ces collections et de former un ensemble représentatif de la faïence marseillaise et provençale en ménageant des ouvertures à d’autres expressions de la création céramique en France et à l’étranger, faisant du Musée de la faiënce un des plus beaux musées européens de céramique, avec 1500 pièces.
Citons à cet égard la prestigieuse collection de Faïence et porcelaine de Marseille réunie par Pierre et Lison Jourdan-Barry et donnée à la Ville de Marseille en avril 1995, à laquelle s’ajouta, en 1998, un exceptionnel ensemble d’oeuvres de Moustiers du XVIIIe siècle.

19 avril 2006

sur la corniche la porte d'orient

Porte de l'Orient


Ce monument à été érigé par souscription nationale avec la participation de l'état, du département, des Bouches-du-Rhônes et de la ville de Marseille.
Le comité fut constitué sur l'initiative de la fédération nationale des poilus d'Orient.
En l'an 1927, le 24 avril, Monsieur Gaston Doumergue, Président de la république Française à inauguré ce monument.
Celui-ci est :
À la mémoire des militaires et supplétifs de toutes confessions "morts pour la France" en afrique du nord.
29 Septembre 1918, premier armistice armée d'Orient
France-Indochine 1624-1956, trois sciècles de présence Française ont scéllée par le sang versé un pacte solennel entre la France et les peuples de l'union Indochinoise

20 avril 2006

la corniche

La Corniche et le Marégraphe

L'aménagement de la corniche, d'abord simple chemin, a été réalisé en deux temps au XIXe siècle. Plus tard, en 1954, la municipalité Defferre engage une politique de grands travaux urbains dont l'élargissement de la promenade de la Corniche, terminé en 1968. Ce véritable balcon sur la mer comporte un trottoir à deux niveaux séparés par un banc continu de deux kilomètres, le plus long banc urbain du monde. La promenade a été baptisée « Corniche du Président John F. Kennedy » en 1963.

Au milieu du XIXe siècle, le développement des voies de communication nécessite des mesures de plus en plus précises et la détermination des altitudes exige un niveau de référence. En 1884, le Comité du Nivellement général de la France fait installer sur la Corniche, non loin du Pont de la Fausse Monnaie, un observatoire muni d'un marégraphe totalisateur qui enregistre en permanence les variations du niveau de la mer Méditerranée. Après douze années d'observation, du 3 février 1885 au 1er janvier 1897, le zéro de référence est défini. Le marégraphe de Marseille reste le seul appareil en Europe toujours en fonctionnement, qui enregistre et étudie sur le long terme le mouvement des marées et leur évolution. Il recèle le repère fondamental, en platine iridié, à partir duquel sont établis tous les nivellements français.
24 avril 2006

au bour de Marseille les Goudes

Les Goudes

Le port des Goudes n'accorde aucune concession au « faire joli ». Un décor de blocs rocheux abrupts immenses et dépouillés, une végétation parcimonieuse, mais une mer aux fonds splendides fêtés par les plongeurs de l'Europe entière, qui s'y retrouvent tout au long de l'année.

Pour eux et pour les visiteurs, de nombreux restaurants et buvettes dressent leurs tables à l'ombre d'un parasol. Point de départ des randonneurs, près de 145 km de sentiers sont balisés dans un lieu à la beauté sauvage.

26 avril 2006

LES CROISETTES

LES CROISETTES

Les lieux ont aujourd'hui un peu changé et ce dessin est l'unique témoignage de leur état, dans ces années soixante.
A cette époque il n'y avait ni l'eau, ni l'électricité. Le poteau visible date de l'époque où les Allemands avaient aménagé une batterie, sur le versant sud de l'île Maïre.
Le type au chapeau, qui lave la vaisselle au bout du quai, et celui qui se fait bronzer étaient mes compagnons de plongée. Sur la plage on voit notre canot pneumatique et notre moteur de 7,5 CV, matériel avec lequel nous allâmes récupérer la roue de gouvernail de "la Drôme", qui git dans la baie de Marseille, à quelques miles de là, en pleine eau, par 52 mètres de fond.
(Article de JP PETIT, transmis par M. mai 2005).

30 octobre 2006

PLATON ET L'ATLANTIDE

Platon philosophe grec, du quatrième siècle av. J.-C., nous raconte, dans un de ses récits (Critias et la Timée) :

« Or dans cette île, l'Atlantide, s'était constituée un empire vaste et merveilleux que gouvernait des rois dont le pouvoir s'étendait non seulement sur cette île toute entière, mais aussi sur beaucoup d'autres îles et sur les parties du continent. En outre, de ce côté-ci du détroit, ils régnaient encore sur la Libye jusqu'à l'Égypte et sur l'Europe jusqu'à la Thyrrénie.
Mais dans ce temps qui suivit, se produisirent de violents tremblements de terre et des déluges. En l'espace d'un seul jour et d'une seule nuit funestes, toute votre armée fut engloutie d'un seul coup sous la terre, et l'île Atlantide s'enfonça pareillement sous la mer. De là vient, que de nos jours, là-bas, la mer reste impraticable et inexplorable, encombrée qu'elle est par la boue que, juste sous la surface de l'eau, l'île a déposé en s'abîmant. »

A la lecture de ce texte et des découvertes archéologiques réalisées sur l'île de Théra, de nombreux savants, archéologues, hellénistes et volcanologues pensent que l'Atlantide correspondrait à la civilisation minoenne, à la fin de l'âge du Bronze. Sa disparition serait due à l'explosion du Santorin vers 1645 ± 20 ans av. J.-C. Cet âge a été estimé en fonction :

  • d'un fort niveau acide retrouvé dans les glaces lors d'un forage de l'inlandsis du Groenland ;
  • de la radiochronologie du C14 a partir d'un bois carbonisé ;
  • d'un "traumatisme" visible sur les cernes de certains arbres fossiles et dont l'âge est donné par dendrochronologie.
29 mars 2007

COTIGNAC ET SA FALAISE DE TUF

Il y a 80 000 ans, la Cassole (rivière actuellement détournée) franchissait en cascade la falaise, construisant sans cesse calcaire et concrétions. Les dépôts de tuf enrobèrent peu à peu l'escarpement, l'érosion créait fissures, grottes, l'eau stalactites et stalagmites. C'est à l'intérieur de cette falaise, longue de 400 m que les premiers habitants ont pris l'habitude de stocker leurs provisions afin de les protéger des pilleurs. C'est ainsi qu'un premier château féodal fut construit au VIII° siècle et habité jusqu'au XV° siècle. On aperçoit encore quelques vertiges de rempart. Cotignac dépendait d'une maison de ce nom, qui s'éteignit vers la fin du XIII° siècle. Il ne resta qu'une fille qui épousa Raimbaud de Simiane, seigneur d'Apt, auquel elle porta en dot la terre de Cotignac et celle de Carcès. Mais n'ayant pas eu d'enfant de ce mariage, elle donna ces deux fiefs à Fouques de Ponteves, dont les descendants les ont possédés longtemps.

Toujours dans les grottes, on trouve d'anciens pigeonniers, élevage pour la nourriture, mais aussi moyen de communication qui fut utilisé par les habitants lors de périodes troublées.

12 novembre 2010

WEST U.S.A 2010 Los Angeles Universal Studios

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         Et aussi d'autres attractions impressionnantes ........

             LA_VAG

            AUT

                                     Ou les cascades

9 janvier 2014

LES AZULEJOS DE LA GARE DE PORTO

la gare de Porto

tableau 1

TABLEAU 2

TABLEAU3

12 mars 2014

LA CATHEDRALE DE PORTO

CATHE TITRE

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29 décembre 2005

ASSOUAN le musée nubien

Le musée nubien : inauguré en septembre 1997, le musée des antiquités de Nubie accueille les vestiges d’une civilisation dont les terres ont été englouties par le lac Nasser.
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