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LOISIRS,VOYAGES,CONVIVIALITE et tout ce qui enjolive le quotidien
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7 avril 2006

O M AU VELODROME

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7 avril 2006

L' O M 2005

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7 avril 2006

O M

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7 avril 2006

O M

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7 avril 2006

L' OM ET SON HISTOIRE 2000.2005

La saison 2000-01 est une des plus agitées de l’histoire pourtant mouvementée de l’OM. Les entraîneurs (Braga puis Clemente et enfin Ivic) et les directions (Marchand puis Cano) se succèdent. Logiquement, l’équipe de Ngotty, Pouget et Marcelinho se débat dans les profondeurs. Seuls les buts de Belmadi, et l’apport de Weah, lui permettent de ne pas couler à pic. En avril, la situation chaotique amène Robert Louis-Dreyfus à abattre un joker : il donne les clés du groupe sportif à Bernard Tapie.
L’ancien « Boss » remplit sa première part du contrat en évitant la relégation. La suite est moins heureuse en 2001-02. L’hyperactivité sur le marché des transferts en été puis en hiver est source de satisfactions (Leboeuf, Runje, Van Buyten) mais aussi de désillusions (Delfim, Fernandes, Chapuis, Torrisi, Tuzzio, ou encore Dill). L’amalgame ne se fera jamais et l’OM se classe finalement tant bien que mal dans la première partie du classement (9e) pour la première fois depuis trois ans.

2002-03 est la saison du retour à la normale. Bernard Tapie s’en va discrètement et cède le gouvernail à Christophe Bouchet. La première décision de l’ancien journaliste est de confier l’équipe à Alain Perrin, l’entraîneur qui monte et que convoitait le champion lyonnais.
Pour une fois, l’OM joue la carte de la sagesse et de la stabilité au mercato (trois recrues). Et cela paye. Malgré quelques insuffisances, la formation conduite par Perrin réussit un beau parcours, décrochant même le titre honorifique de champion d’automne. Elle termine à la 3e place, synonyme de tour préliminaire à la Ligue des Champions.
En septembre 2003, l’OM retrouve enfin l’Europe. Le tirage lui offre le Real Madrid. Une opposition qui illustre un peu plus le retour au premier plan du club phocéen. Pour mener à bien cette saison bourrée d’espoirs, le recrutement a été conséquent. Avec en tête d’affiche un duo d’attaque prometteur : Drogba-Mido.
Mais alors que l’on s’orientait vers une grande année, tout s’écroule en quelques mois. Au coeur d’un hiver catastrophique, Alain Perrin est débarqué au profit de José Anigo. L’électrochoc n’a pas les effets escomptés en championnat où l’OM fait rapidement une croix sur ses objectifs. Car tous les regards se sont tournés vers la Coupe de l’Uefa. Les Olympiens y enchaînent les exploits en sortant successivement Liverpool, l’Inter Milan et Newcastle pour se hisser en finale. Un parcours royal qui ravive la flamme du public phocéen. Ce n’est pas un hasard si la banderole «Fiers d’être marseillais», remisée depuis des années, fait son retour au pied du Virage Sud.

Malheureusement, l’expulsion contestable de Fabien Barthez à Göteborg, scelle le sort de la finale. Elle déséquilibre trop le rapport de forces entre les favoris valencians et les outsiders marseillais. Le champion d’Espagne s’impose 2-0 face à des Olympiens inconsolables.

La saison 2004-05 se joue avant même le premier match de championnat. Car à la mi-juillet, Marseille dit adieu à sa nouvelle idole, Didier Drogba, vendu pour 37 millions d’euros à Chelsea.
Ce transfert change toute la donne de la politique du club. Des retouches annoncées, on passe à un remaniement de fond. La mayonnaise ne prend pas dans le groupe, renouvelé à 80%. Les résultats tendent la relation avec les supporters qui attendent des changements. En novembre, Anigo démissionne, imité quelques jours plus tard par Bouchet.
L’arrivée de Philippe Troussier offre une embellie sur le terrain. Après un début d’année tonitruant, l’équipe rêve les yeux ouverts. Deuxième, elle se voit même venir chatouiller Lyon. Mais après avoir connu une superbe série, l’OM vit ensuite une période délicate avec plus de deux mois sans victoire, et doit se contenter de la cinquième place.

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7 avril 2006

MARSEILLE ET L'OM

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6 avril 2006

BOULES.............

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6 avril 2006

la pétanque

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6 avril 2006

les artistes et la pétanque............

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6 avril 2006

la pétanque

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6 avril 2006

la pétanque

1910

6 avril 2006

la pétanque

Vers la fin du XIXe siècle, des artisans du Var se sont spécialisés dans la fabrication de boules cloutées en bois de buis. Une boule de bonne qualité pouvait compter jusqu'à 1200 clous montés en chevauchement.

Vers 1920, les premières boules furent fabriquées et lancées sur le marché: J. Blanc en est l'inventeur attitré. Les boules coulées en bronze ont fait leur apparition en 1923 et ce n'est qu'en 1949 que l'acier doux va être utilisé. Dès 1930, un mécanicien J. Blanc de St.Bonnet-le-Château eut l'idée de remplacer les anciennes boules en bois par des boulles métalliques (J.B.) et c'est finalement en 1955 qu'un fabricant de serrures de l'endroit, Frédéric Bayet, et son ami Antoine Dupuy, créèrent les premières boules en acier sous le nom "Obut". Ces deux marques restent parmis les plus Puis, il s'ensuivit une amélioration constante dans la fabrication des boules.

A partir de 1988, la pétanque effectua un important effort de médiatisation par la coloration des boules. Mises en couleur, ensuite testées en laboratoire et delà elles furent jugées bonnes, car elles ne présentaient aucune modification de leurs caractéristiques techniques.

6 avril 2006

la pétanque

petanque

6 avril 2006

la pétanque

L'histoire de la pétanque

L'engouement pour la pétanque n'est pas le fruit de sa simple définition qui se livre ainsi: Jeu de boules dans lequel le but à marquer est constitué par une boule plus petite appelée «cochonnet».

Le Petit Larousse Illustré quand à lui définit la pétanque ainsi : " jeu de boules originaire du midi de la France, dans lequel le but est une boule plus petite en bois, dite cochonnet, et qui se joue sur un terrain non préparé".

Dans la chaude Provence, sous les platanes, où cela fleure bon le romarin, la lavande, le thym ou le basilic, se déroule une pièce en plusieurs tableaux. Les acteurs y accomplissent de réels exploits; leur verbe - avé l'assent - truculent attire les foules, suscite les passions.


Tout ceci peut paraître complexe mais ce jeu n'est nullement dépourvu de saveur surtout lorsqu'il est agrémenté du pastis traditionnel. Le jeu de boule à connu des périodes difficiles pour sa pratique qui s'est vue interdite en 1629, car devant la concurrence des boules, les fabricants de paumes (ancêtre du tennis) complotent et obtiennent l'interdiction du jeu de boules.

Heureusement la fin du XIXième siècle a vu le jeu de boule remis à la mode en Provence avec des boules cloutées en bois. L'appellation "pétanque" est née en juin 1910 au cours d'une partie disputée à La Ciotat. Un certain Ernest Pitiot permit à un ami, Jules le Noir pris de rhumatismes, de
jouer
sans se déplacer les pieds tanqués dans un cercle tracé sur le sol à 2 ou 3 mètres du cochonnet.

De là, une contraction du provençal "ped tanca" en "pétanque" (pieds joints) a donné le nom à ce sport. La pétanque est née.

5 avril 2006

LE PASTIS

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5 avril 2006

LE PASTIS A MARSEILLE

Comment se fabrique le pastis ?

Il existe beaucoup de fabricants de pastis, et les guerres de clochers sont très sérieuses. Amateurs de Ricard ou de 51, tous ne vénèrent pas le même anis. Pourtant, ne leur dites pas, mais d'après l'histoire, tous les pastis ont une procédure de fabrication similaire.

   

- Choix des plantes

  La badiane, ou anis étoilé, et le réglisse viennent le plus souvent de Chine ou de Syrie. Thym, romarin, sarriette, sauge, armoise et verveine sont cueillis dans la garrigue de Haute Provence. Certains pastis sont aromatisés avec des essences plus originales comme le citron. Il y en a même qui contiennent jusqu'à 72 plantes et 6 épices.

- Macération*

  Chaque plante et chaque épice macère séparément dans de grandes cuves contenant de l'alcool de 30 à 96°. Certains arômes ne peuvent être extraits qu'avec des alcools très forts. C'est là que réside un des secrets de fabrication de chaque anisetier. La difficulté est de doser le degré d'alcool en fonction de chaque plante. La macération peut durer entre 15 jours et deux mois. Certaines plantes comme le thym et l'armoise sont simplement égouttées. Les autres sont pressées pour ne conserver que l'alcool imprégné de l'arôme.

- Distillation*

  Le résidu obtenu après égouttage ou pressurage est chauffé dans un alambic de manière à ne récolter que les vapeurs d'alcool chargées en arômes. Certaines infusions comme l'armoise ou le réglisse sont gardées telles quelles.

- Assemblage

  Une opération délicate. C'est à ce moment-là que s'exerce l'art des fabricants de pastis. Infusions et distillats sont mélangés avec du sucre et de l'anéthol*. L'anéthol est l'essence d'anis étoilé, composant essentiel du pastis. Ensuite, on ajoute de l'eau pure pour ramener la liqueur à 45°, le taux d'alcool autorisé.

4 avril 2006

interieur de la CATHEDRALE

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4 avril 2006

LA CATHEDRALE E MARSEILLE

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4 avril 2006

MARSEILLE ET SA CATHEDRALE

Basilique Cathédrale Sainte-Marie-Majeure


Louis-Napoléon Bonaparte pose la première pierre de la nouvelle cathédrale le 26 septembre 1852, consacrée le 6 mai 1896, les plans sont de l'architecte Léon Vaudoyer. A sa mort, en 1872, Henry Espérandieu reprend le chantier jusqu'à sa propre disparition en 1874. C'est enfin Henri Revoil qui achève la nouvelle cathédrale.

La construction de Sainte-Marie-Majeure (souvent appelée " la Major ") a nécessité une amputation importante de l’ancienne cathédrale Notre-Dame (l’ancienne Major).
La Major est l’un des édifices religieux les plus vastes et ambitieux bâtis au 19e siècle. Sa construction dura de 1852 à 1893, et ses architectes successifs, Vaudoyer, puis Espérandieu et Revoil, accordèrent une large part à l’historicisme.
Avec son appareillage de pierres alternativement vertes et blanches, cet édifice d’inspiration byzantine (style romano-byzantin, emploi de la mosaïque, des coupoles) marie en effet éléments romans et gothiques.
Le plan est en croix latine. Le chœur est ceint d’un très long déambulatoire bordé de chapelles ...
Sa longueur totale est de 146 m, la coupole principale a près de 70 m de hauteur et 18 m de diamètre.

A signaler : A l'extérieur : la façade ornée des statues du Christ, des apôtres, saint Pierre et saint Paul et les saints de Provence, les tympans sculptés ; la statue en bronze de Mgr de Belsunce, évêque de Marseille lors de la peste de 1720.

A l'intérieur : les statues des quatre évangélistes par Louis Botinelly, le Christ et sainte Véronique par Auguste Carli, le Ciborium en onyx et les autels de Jules Cantini, le tombeau de saint Eugène de Mazenod dans la chapelle axiale.

4 avril 2006

la cathédrale de Marseille

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