Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LOISIRS,VOYAGES,CONVIVIALITE et tout ce qui enjolive le quotidien
LOISIRS,VOYAGES,CONVIVIALITE et tout ce qui enjolive le quotidien
Publicité
LOISIRS,VOYAGES,CONVIVIALITE et tout ce qui enjolive le quotidien
Archives
Visiteurs
Depuis la création 165 465
Pages
Newsletter
Derniers commentaires
28 avril 2006

SORMIOU

calanque_de_sormiou

Publicité
Publicité
28 avril 2006

sormiou

sorm22

28 avril 2006

SORMIOU

sormion

28 avril 2006

SORMIOU

sormiou1

28 avril 2006

LA CALANQUE DE SORMIOU

La Calanque de Sormiou est l'une des Calanques les plus connues et les plus fréquentées par les marseillais.
On y accède par la Cayolle ou les Baumettes. C'est la seule, avec les Calanques de Morgiou et de Port-Pin, directement accessibles en voiture. La circulation est règlementée en été,

Cette Calanque comporte une plage, un port de pêche, protégé par une digue, une centaine de cabanons (c'est la seule, avec les Calanques de Morgiou et de Port-Pin à posséder des habitations) et deux restaurants de poissons. Sormiou n'a ni eau, ni électricité.

Elle a connu l'activité de plusieurs pêcheurs installés à plein temps. Ils sont partis petit à petit, et un seul professionnel vient en été pour le plaisir des clients des restaurants 

Publicité
Publicité
28 avril 2006

SORMIOU

sormiou

28 avril 2006

SORMIOU calanque .....de rève

Quand Jacques Chirac fait une virée à Marseille, c'est dans son cabanon de Sormiou que le maire de la ville, Jean-Claude Gaudin, reçoit le président. C'est vous dire si l'endroit est agréable et tranquille. A la différence de ces deux-là, vous ne manquerez pas de vous alanguir sur la plage, et surtout de vous baigner dans ces eaux si turquoises qu'on peine à les croire méditerranéennes... Petite particularité de cette calanque : elle est habitée et dissimule un petit port. Raison de plus pour les plaisanciers de venir jeter l'ancre à Sormiou.

Contrairement à bon nombre de calanques superbes mais caillouteuses, Sormiou offre un cadre splendide, et le confort. On se prélasserait bien toute la journée sur cette plage de sable fin. Même en été, quand la température est caniculaire et que les plages bondées du Prado ou de Cassis prennent des airs de Canebière, Sormiou reste accueillante. Il faut dire que la route qui conduit à ce havre de paix est bien cachée, comme si Marseille réservait ses plus belles richesses aux connaisseurs. La route, ou plutôt le chemin, est d'ailleurs fermé au public de juin à septembre pour protéger cette partie du littoral, ravagée par des incendies dans le passé.

Heureusement, un car assure la navette sur les quelques kilomètres qui séparent la guérite des gendarmes à l'entrée, de la calanque proprement dite. Il est possible également de s'y rendre dans son propre véhicule, si l'on montre patte blanche à l'entrée. Ce qu'on vous conseille, pour que la journée soit absolument parfaite, c'est de réserver votre table au restaurant "le château" ainsi vous passerez le barrage sans difficulté et vous dégusterez un succulent déjeuner sur une terrasse idyllique.


Le premier enchantement quand on se rend à Sormiou, c'est la descente vers la plage. Attention, si la conduite en montagne vous effraie, mieux vaut éviter. L'endroit a beau se situer à quelques minutes de la ville, et soit dit en passant à deux pas de la fameuse prison des Beaumettes, la route qui y conduit ressemble à un col de montagne. Tout du long, La vue sur la mer est imprenable. Dernières suggestions pour finir, tâchez de garer la voiture à l'ombre, enfilez les tatanes (ou les chaussures de marche pour les randonneurs), couvrez vous le chef, et n'oubliez pas la serviette de bain...

27 avril 2006

callelongue le bout du monde......marseillais

Minuscule fjord situé « au bout du monde », Callelongue est le port le plus reculé de Marseille et le point de départ de longues randonnées dans les calanques, là où se nichent les petits ports de Sormiou et Morgiou.

callelongues

27 avril 2006

LE PORT DE LA MADRAGUE

Petites maisons, cabanons, restaurants les pieds dans le sable, et vue sur mer, pas de doute, vous êtes à la Pointe-Rouge.

En poussant jusqu’à la Madrague, le bout de Marseille est proche : les maisons remplacent les petits immeubles, les calanques commencent à se dessiner, les plages naturelles sont encore là et le petit port de pêche de la Madrague compte encore quelques bateaux de pécheurs toujours en activité.

la_madrague

27 avril 2006

prés de la calanque du mème nom.............

Usine de l'Escalette

L' usine de l'Escalette est créée en 1851, par M. Meynier, pour traiter le plomb, le cuivre, et l'argent. C'est à cette époque que l'Industrie se développe à Marseille.
L'usine est bâtie en pierres de taille, et en briques. De longues cheminées rampantes (conduits de cheminées) sont construites parfois sur une longueur de 500 m, pour évacuer les fumées nocives. Tous les deux ou trois ans, ces conduits étaient en quelques sortes ramonés pour récupérer les particules de métal mêlées au dépôt charbonneux, qui étaient ensuite recyclées; Un système astucieux de godets roulant par traction sur des rails, permettait de transférer les cargaisons de minerais depuis le Petit Port jusqu'à l'usine située plus haut (1). A l'époque le Petit Port était une Calanque.
Le plomb était amené jusqu'aux Goudes où se trouvait la douane, ensuite les lingots contrôlés et estampillés repartaient en péniche vers le Vieux Port. Plusieurs propriétaires se sont succédés :(2) Les Frères Rodriguez-Ely, Pennaroya, et la Société de l'Escalette. L'activité de l' usine cesse en 1925. C'est la seule usine de Plomb encore en bon état.
Cette dernière est convoitée, normalement elle devrait être classée Monument Historique Industriel, et devenir un musée.
(1) (2) : Extrait Revue Marseille "113 quartiers".


(Yvette MC. avril 2005)

escalette1 escalette2

26 avril 2006

LA CALANQUE DU MUGERET

OU ANSE DE LA MARONAISE

Comment expliquer que l'Institut Géographique National (IGN) attribue un nom de restaurant à une calanque ?

Cherchons :
- Dans une carte postale ancienne, notre belle calanque réponds au doux nom de "calanque de Mugeret".
- Sur la carte IGN 3145E 1989 édition3, nous lisons "anse de Mongenet"
- Enfin, pour les adeptes du GPS, dans une édition plus récente de l'IGN, on lit "anse de la Maronaise".

La vérité : les habitants de la règion la connait, comme le confirme un de nos adhérents dans la rubrique "vos avis" : les gens du coin parlent de "la Mahonnaise" depuis qu'une mahonne (Chaland de port, à forme très arrondie utilisé en méditerranée) repose sur le sable à l'entrée de la calanque. On en voit encore les membrures, si on se donne la peine de mettre un masque. Il y a au moins 40 ans qu'elle est là !

C'est une habitude de baptiser les lieux en fonction des restaurants du coin ("la baie des singes" pour "les croisettes").
C'est quand qu'on va baptiser la place de la République place "jojo" du nom du café qui s'y trouve ???
(04/2006)

maro2 maro3

mugeret les_goudes_la_maronaise

26 avril 2006

LA PECHE A LA SEINCHE

La pêche à la seinche

Au siècle dernier (déjà !) se pratiquait une pêche collective et ancestrale : la pêche à la seinche ou cerne.
La nuit, dans des petits fonds et à partir de la rive, est disposé en demi-cercle, un filet plombé qui encercle une zone savamment choisie. Au matin la poche de capture est réduite progressivement, après l'avoir doublée d'un deuxième filet, pour finalement amener le poisson pris sur le rivage.
Les prises sont principalement des loups , des dorades et des saupes.
Cette photo des pêcheurs des Goudes, prise dans la calanque de Mugeret (nom géographique de la maronaise) montre que certains pilleurs de filets peuvent aussi se faire prendre dans les mailles.
C'est pour sa non sélectivité (des espèces et des tailles) que cette pêche disparaîtra en 2002, conformément aux directives de la Communauté Européenne

seinche

26 avril 2006

LE TELESCAPHE DU CAP CROISETTE

LE TELESCAPHE

Un jour, deux montagnards amoureux de la mer, assurés que pour protéger quelque chose, il fallait bien le connaître, décidèrent de construire un téléscaphe  qui permettrait, pour une somme modique, d'aller sous l'eau à -10m de fond en une traversée de Callelongue au cap Croisette.
Ainsi, en juin 1967, a eu lieu l'ouverture du téléscaphe de Marseille-Callelongue qui a permis à 31 000 personnes de faire leur baptême de plongée.
Célèbre, il fut même l'objet de la première émission de télévision en mondovision. Ce fut un succès indiscutable, mais après deux saisons d'exploitation, la difficulté d'obtenir des crédits supplémentaires et la situation politique particulière de 1968 ont mis un terme à cette aventure.
Actuellement, seuls quelques vestiges rouillés témoignent encore de cette période.
Ne soyez pas étonné si vous ne trouvez pas le mot "téléscaphe" dans votre dictionnaire : c'est la contraction de télésiège et de bathyscaphe.
(Christian R. mars 2005)

telescaphe1  telescaphe2

26 avril 2006

LES CROISETTES ET L'ILE MAIRE

ile_maire ile_maire_2

26 avril 2006

LES CROISETTES

LES CROISETTES

Les lieux ont aujourd'hui un peu changé et ce dessin est l'unique témoignage de leur état, dans ces années soixante.
A cette époque il n'y avait ni l'eau, ni l'électricité. Le poteau visible date de l'époque où les Allemands avaient aménagé une batterie, sur le versant sud de l'île Maïre.
Le type au chapeau, qui lave la vaisselle au bout du quai, et celui qui se fait bronzer étaient mes compagnons de plongée. Sur la plage on voit notre canot pneumatique et notre moteur de 7,5 CV, matériel avec lequel nous allâmes récupérer la roue de gouvernail de "la Drôme", qui git dans la baie de Marseille, à quelques miles de là, en pleine eau, par 52 mètres de fond.
(Article de JP PETIT, transmis par M. mai 2005).

26 avril 2006

DESSINS DES CROISETTES

dessin_1  dessin_2

26 avril 2006

LES CROISETTES

LES CROISETTES

Voici deux dessins, réalisés en 1960 par l'auteur. Le premier montre l'anse des Croisettes, vue de la terre. Au loin, l'île de Riou. Sur la plus haute de ses dents, un abri avait été aménagé dans l'antiquité, où l'on brûlait du bois, amené par des esclaves, et qui servait de phare pour la ville de Phocée. Un peu plus près, l'île Maïre. Le port des Croisettes en est séparé par une passe d'une trentaine de mètres de large.
Au delà de l'île Maïre, non visible sur ce dessin, le lieu où coula le Liban en 1907. Au premier plan du dessin, un vieillard portant un seau : le seul habitant permanent du port, qui sauva de nombreuses vies en se portant au secours des naufragés. Comme la ville de Marseille lui avait demandé ce qu'il souhaiterait en remerciement pour ce geste, il demanda qu'on lui construise un appontement, visible au fond et à gauche.
Amarrée, la "bête" de Roger Poulain.
A droite, une croix qui fut érigée en souvenir du drame, qui fit deux cent morts.

26 avril 2006

LES CROISETTES ... LE NAUFRAGE DU LIBAN

7 juin 1903 - 12h10 - naufrage du "Liban"

Il ne reste plus de témoins de ce terrible naufrage mais leurs descendants se souviennent encore des dires de leurs grands-parents. Au cours d'une journée d'été de 1903, le paquebot "le Liban" fit naufrage au large des Goudes. Les naufragés s'agrippaient aux rochers, d'autres essayaient de nager.
Les barques des pêcheurs ne possédaient pas de moteur; alors les sauveteurs partis des Goudes tiraient sur leurs avirons. Plus de 300 noyés à quelques brasses de la côte du Cap Croisette et de la calanque de la Maronnaise.
En coulant, le Liban faisait d'énormes remous creusant de telles vagues que les embarcations des marins du port des Goudes n'arrivaient pas à approcher du navire.
Les vieux pêcheurs, il y a quelques années, disaient "qu'ils n'avaient pas le temps de porter secours à tous les gens qui se noyaient". Les barques pleines, il fallait qu'ils repartent pour disposer les corps sur le quai et revenir tout en tirant sur leurs rames jusqu'au lieu du drame.
La tragédie eut pour théâtre l'lIe Maïre ; Le Liban venait de quitter Marseille avec un grand nombre de passagers à bord; Il était si près de la côte que " l'on pouvait voir les panamas et canotiers des messieurs et les ombrelles des dames".
Le bateau "l'Insulaire" lui, arrivait de Corse. Il était proche de Marseille et tout son personnel était à son poste. Ses passagers étaient tous sur le pont pour admirer l'arrivée sur la ville. Le ciel était bleu, la mer était calme et il faisait beau cet été-là.
Soudain ce fut un choc énorme, un craquement impressionnant; Les navires se trouvèrent face à face. Aucune manoeuvre ne fut possible et ils s'abordèrent à la hauteur de Tiboulen de Maïre dit " Peiro ".
Le Liban fut éventré. Son commandant essaya en vain de le faire échouer sur les Pharillons (de Maïre), mais le paquebot n'était pas gouvernable et il sombra. Ce qui causa tant de morts, c'est que de nombreux passagers sont restés, dit-on, coincés sous une tente disposée au dessus du pont, dressée là, pour abriter les passagers du soleil.
Quant à l'Insulaire, avec sa proue enfoncée, il put regagner le port de Marseille à petite vitesse

26 avril 2006

la calanque blanche

calanque_blanche

25 avril 2006

MARSEILLE CALANQUE DE L'ESCALETTE

CALANQUE DE L'ESCALETTE

escalette_01

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 7 > >>
Publicité